Skip to main content
Category

Actualités

20 ans de l’IFCIM

By Actualités, Rayonnement, Recherche & innovation pédagogique

Célébration de 20 ans de collaboration entre l'université de TONGJI et l'École des Ponts

Le 26 octobre 2019, l’IFCIM (l’Institut Franco-Chinois d’Ingénierie et de Management) a célébré ses 20 ans en présence du président de l’Université TONGJI, des doyens des collèges d’ingénierie, de l’Agence Universitaire pour la Francophonie, des Alumni des programmes de double-diplômes d’ingénieur, des représentants de 6 écoles de ParisTech, du Directeur de l’Ecole des Arts et Métiers et de Sophie Mougard, Directrice de l’Ecole des Ponts et Vice-Présidente de ParisTech.

Pionnier de la coopération sino-française, l’IFCIM a su dès sa création apporter des solutions concrètes aux besoins des entreprises françaises à Shanghai, par des programmes de formation adaptés aux enjeux de la ville et du développement urbain.

La cérémonie fut l’occasion de rappeler que 276 étudiants de TONGJI sont venus se former dans les écoles de ParisTech dans le programme 50i, dont 53 à l’Ecole des Ponts, 276 dans les Masters, et plus de 1000 dans le MBA des Ponts.

L’avenir est désormais aux activités d’innovation et d’entrepreneuriat, avec le soutien des entreprises françaises à Shanghai. Le centre de co-innovation entre TONGJI et l’École des Ponts ParisTech, dont nous vous parlions en novembre 2018  marquera bientôt une nouvelle étape de cette coopération scientifique au service de la compétitivité des entreprises.

Cet important réseau d’alumni que nous avons créé ensemble est un atout formidable pour promouvoir notre conception de la formation des ingénieurs d’excellence auprès des entreprises et des acteurs socio-économiques.

Sophie MougardDirectrice de l'Ecole des Ponts et Vice-Présidente de ParisTech

Découvrez le classement 2020 des meilleures écoles d’ingénieurs du Figaro – L’École prend la 4ème position

By Actualités, Étudiants, Rayonnement

Le Figaro Étudiant : L'École des Ponts classée 4ème parmi les écoles d'excellence !

Pour la première, le Figaro Étudiant publie son propre classement des écoles d’excellence qui hiérarchise les 21 meilleures écoles d’ingénieurs françaises. Et, l’École des Ponts ParisTech se place à la quatrième position derrière École polytechnique (première place), CentraleSupélec et Mines ParisTech.

Il existe environ 200 écoles d’ingénieurs en France. Certaines sont très spécialisées sur des thématiques, d’autres sont plus généralistes.
Le Figaro a relevé le défi en évaluant ces écoles à partir d’une liste de douze critères, avant de les répartir en palmarès thématiques.
Le classement phare est celui des écoles d’excellence. La rédaction du Figaro a sélectionné les écoles les plus demandées à la fois par les étudiants des prépas les plus prestigieuses et par les meilleurs lycéens.

La rédaction du Figaro Étudiant a attribué les plus gros coefficients à la qualité du recrutement, notamment avec les mentions au bac des élèves reçus, le rang dans les classements internationaux comme Shanghai et le cabinet QS et les salaires de sortie.

La Fondation participe à l’achat d’un pantographe signé Jacques Canivet

By Actualités, Patrimoine

Pantographe signé de Jacques Canivet et daté, il porte également la mention de l'École nationale des ponts et chaussées.

La Fondation a participé à l'achat de cet instrument

Acquis grâce au soutien de la Fondation des Ponts lors d’une vente aux enchères organisée en 2019, cet instrument, que l’on appelle aussi “Singe” a été perfectionné par Claude Langlois en décembre 1743 (date de la présentation à l’Académie des sciences) qui était le maître de Jacques Canivet. Ce dernier en fabrique à partir du début des années 1750.

Ce n’est pas un instrument de terrain mais de bureau, le pantographe est conçu pour reproduire un motif, le plus souvent un dessin ou un plan à l’échelle exacte, agrandie ou réduite. Il permettait de mettre des tracés de terrain à la bonne échelle pour ensuite être présentés aux commanditaires ou diverses personnes intéressées par le projet.

Signé de Canivet et daté, il porte également la mention de l’École nationale des ponts et chaussées.

Gravure représentant le pantographe.

Cliquez sur l’image pour agrandir

Cet instrument tout à fait exceptionnel, figurait dans l'inventaire des instruments scientifiques de l'Ecole de 1824 mais nous avions ensuite perdu sa trace. Son retour au sein de notre Ecole est un enrichissement remarquable dans le cadre de la conservation et la valorisation de notre patrimoine.

Anne LacourtChargée de mission Archives, et de la conservation des collections.

Center for World University Rankings 2019-2020 – L’École progresse de loin !

By Actualités, Étudiants, Rayonnement

Center for World University Rankings

Le CWUR (Center for World University Rankings) a publiéson classement des meilleures établissements dans le monde entier : L’École des ponts ParisTech  gagne 444 places en un an !

C’est avec beaucoup d’enthousiasme et de fierté que nous vous annonçons que l’École des Ponts ParisTech, est désormais classée à la 336 ème place et gagne ainsi 444 places par rapport à l’année passée (780 ème).

Le CWUR publie, chaque année, un classement mondial des 2000 meilleures écoles. Il mesure la qualité de l’éducation et de la formation des étudiants ainsi que le prestige des membres du corps professoral et la qualité de leurs recherches.

Félicitations aux lauréats du prix Abertis 2019

By Actualités, Recherche & innovation pédagogique

Pour la huitième année consécutive, l’Ambassade d’Espagne à Paris a accueilli, le mercredi 25 septembre 2019, la remise des prix Abertis.

Le prix Abertis-École des Ponts ParisTech, créée en 2011, récompense les meilleurs travaux de recherche dans le secteur de la gestion des infrastructures de transport et de sécurité routière. Son objectif est de promouvoir l’éducation, la recherche et l’innovation dans ce domaine et la sécurité routière, en reconnaissant le talent et la recherche d’un avenir meilleur pour tous les citoyens.

Ce prix international récompense un travail de thèse, un mémoire de Master ou un projet de fin d’études (PFE), soutenus durant l’année civile et mettant l’accent sur des travaux d’analyse innovants.

La huitième édition de ce prix, récompense cette année deux travaux de Thèse, dont celui de Nicolas Le Touz de l’université Bretagne Loire et de Pierre-Marie Damon de l’université Paris Saclay. Aucun lauréat n’a été récompensé pour la catégorie Master : les travaux n’ayant pas convaincu le jury.

Catégorie thèse transport

Nicolas LE TOUZ

pour son travail sur la conception et étude d’infrastructures de transports à énergie positive : de la modélisation thermomécanique à l’optimisation de tels systèmes énergétiques

Catégorie thèse sécurité routière

Pierre-Marie DAMON

pour son travail sur l'estimation pour le développement de systèmes d'aide à la conduite des véhicules à deux-roues motorisés

Crédits photos : Abertis, Fondation des Ponts

Matinales des Ponts

By Actualités, Recherche & innovation pédagogique
Rencontres entreprises

Matinale des Ponts sur le thème de la Transition énergétique : Quel management des projets dans les territoires ?

L’École des Ponts ParisTech organise le mardi 5 novembre 2019 de 8h30 à 10h30 dans les locaux de Ponts Alumni, au 42 rue Boissière dans le 16ème arrondissement de Paris, une rencontre avec le monde économique.

Cette neuvième édition aura pour thème :
La Transition énergétique : Quel management des projets dans les territoires ?

Avec les interventions de :

  • Gérard Auriol, Directeur Délégué – ENEDIS
  • Jacques Blein,  Directeur opérationnel des projets Groupe – Engie
  • Louis-François Durret, Directeur du Mastère Spécialisé Management of energy projects – École des Ponts ParisTech
  • Thierry Hommel, Responsable du Master Transition Énergétique et Territoires – École des Ponts ParisTech

Les débats seront animés par : Pierre-Olivier Rouaud, journaliste.

Comme les précédentes éditions, l’inscription reste obligatoire.
Pour plus d’informations, veuillez contacter Monsieur Hassane AKKA.

Informations : hassane.akka@enpc.fr
Pour vous inscrire

Nombre de places limité.

Retour sur le projet humanitaire 2019 Dévelop’Ponts Antsirabe

By Actualités, Étudiants

En résumé

La Fondation soutient ce projet depuis 2017

Plusieurs étudiants, très touchés par les problématiques d’éducation à Madagascar, se sont mobilisés, depuis 2017, pour participer à la construction d’un lycée à Antsirabe (Madagascar), avec le soutien de l’Association Humanitaire Sœur Marie Colette (AHSMC), l’entreprise Demanthieu Bard et la Junior entreprise PEP de l’École des Ponts.

La Fondation des Ponts, dans le cadre de sa mission pour accompagner les étudiants, a soutenu ce projet, en attribuant une aide financière à Dévelop’ Ponts, l’association solidaire de l’École des Ponts, à l’initiative de celui-ci.

Nous vous parlions de ce projet en mai 2018

Ils nous parlent de leur séjour

Qu’en était-il de la construction à votre arrivée ?

A notre arrivée le 10 juillet 2019, le rez-de-chaussée était d’ores et déjà utilisé : les salles de classe étaient enduites, peintes et aménagées, mais avaient malheureusement déjà pris l’humidité, si bien que la peinture du plafond s’écaillait après seulement quelques mois d’utilisation trop précoce. Quant au premier étage, sa structure porteuse était achevée mais les enduits n’étaient pas terminés et les portes, les fenêtres tout comme les garde-corps et le reste du mobilier scolaire restaient encore à installer. Au dernier étage, la dalle de béton était encore nue : aucun des murs du dernier étage n’avait été érigé.

Comment s’est déroulé votre séjour ?

Notre séjour sur place a permis de rencontrer tous les acteurs locaux du projet, comme M. Faneva ou encore les Sœurs de La Providence, afin de discuter avec eux des possibles améliorations qui peuvent être apportées sur le chantier, à la gestion administrative de l’établissement ou encore à l’enseignement.

Si certaines de ces suggestions nous ont été proposées avant le départ, depuis Paris, notamment par des chercheurs du département VET de l’École au sujet des technologies à utiliser dans les sanitaires, la plupart sont venues des observations que nous avons pu faire sur place, principalement au sujet des contenus des cours ou de la sécurité sur le chantier. Pour des raisons financières, logistiques, mais aussi de mœurs, la sécurité n’a toutefois que très peu évolué sur le chantier suite à ces remarques.

Nous avons également assuré de nombreux cours au collège, notamment en français, en géographie, en collaboration avec les professeurs de l’École. L’enseignement de la géographie par exemple est centré sur un environnement très proche des élèves, avec l’apprentissage du positionnement des rivières, des routes et des voies ferrées malgaches, des dessins à main levée de fonds de cartes de l’île, etc. Peu de collégiens étaient capables de placer les États-Unis, la France ou les océans sur un planisphère. Nous proposions donc aux élèves des séances de sensibilisation et d’initiation sur des sujets nouveaux et plus généraux, à savoir la géographie à l’échelle mondiale, l’initiation à l’espagnol ou encore la déforestation. Ils furent enchantés de ces séances et nous avons même dû en prévoir davantage tant ils y étaient assidus.

Et sur le chantier ?

Nous avons fait tout notre possible pour apporter de l’aide aux ouvriers présents sur le chantier, dans la mesure de nos capacités de résistance certes bien faibles comparées aux leurs… En effet, les seuls vrais outils dont disposent la trentaine d’ouvriers pour mener à terme ce chantier sont des pelles, quelques truelles, trois brouettes et une dizaine de moules à parpaings. Bien qu’ils utilisent aussi de nombreux matériaux de récupération (bidons vides pour le transport de l’eau, sac de ciment usagés pour le transport du sable ou encore pièces de bois brutes pour fabriquer des échafaudages et des étais), l’avancée du chantier repose essentiellement sur les efforts physiques et les dangers auxquels ils consentent quotidiennement. Malgré toute notre bonne volonté, nous n’avons donc évidemment pas pu atteindre leur niveau d’efficacité sur le chantier.

Le deuxième étage a presque été achevé pendant notre présence sur place, bien que le terrassement de la cour et les finitions des autres étages aient été menés sur cette même période. Seuls la charpente, la toiture, les enduits et les finitions des deux étages restaient à faire et étaient déjà bien entamés en septembre 2019, d’après les informations reçues depuis notre départ.

Cliquez sur l’image pour agrandir

Avez-vous ramené du matériel avec vous ?

Oui bien sûr ! L’intérêt de notre voyage résidait aussi dans un apport massif de matériel scolaire et médical au bénéfice du lycée. Les 52kg de bagages dont chacun des 9 porteurs du projet disposait ont ainsi pu servir à l’acheminement jusqu’à Antsirabe, à nos frais personnels, de 3 ordinateurs portables, 25 kg de matériel médical (seringues, pansements et médicaments divers), 250 kg de dictionnaires et manuels scolaires et 2 000 stylos offerts par l’entreprise Bic. Nous avons aussi laissé sur place à notre départ les équipements de protection dont nous disposions pour travailler sur le chantier : gants, chaussures de sécurité et combinaisons de chantier à une ou deux pièces. Ces vêtements furent particulièrement appréciés par la trentaine d’ouvriers malgaches, qui travaillaient jusqu’alors sans gants ni pantalons adaptés, pieds nus ou en sandales, sur le chantier.

Cependant, le principal apport matériel dont notre projet a bénéficié est sans nul doute celui obtenu grâce au partenariat avec l’entreprise Sogea Satom (Groupe Vinci), dirigée à Madagascar et dans tout le sud de l’Afrique par M. Jean-Luc Sion, que nous avons eu la chance de rencontrer lors de notre passage à Antananarivo. Convaincu de l’impact immense que pouvait avoir notre projet s’il se concrétisait, son entreprise a non seulement offert à la congrégation 29 tonnes de ciment et 8230 mètres de barres de fer nécessaires à l’achèvement du dernier étage, mais aussi financé le trajet d’un camion de 45t sur la sinueuse RN7 reliant Antananarivo (la Capitale) à Antsirabe, route dont l’état n’a malheureusement fait qu’empirer depuis des décennies. L’entreprise de M. Sion a aussi financé intégralement l’acheminement de 56 m3 de graviers et autant de sable depuis le dépôt d’une entreprise de terrassement d’Antsirabe. Bien qu’entamées en notre présence, ces livraisons ont perdurées tout au long du mois d’août.

Quel bilan tirez-vous de cette expérience ?

Notre séjour à Madagascar a été très riche et nous a permis de nous ouvrir au monde extérieur, à une autre culture. Nous avons également fait de nombreuses rencontres.

Même s’il va de soi que nous allons poursuivre un travail d’accompagnement des acteurs locaux dans les mois à venir, la partie centrale de notre projet touche à sa fin. Son bilan est on ne peut plus positif, tant sur le plan matériel que pédagogique : la levée de fonds réalisée en amont tout comme notre présence sur place ont permis de faire une réelle différence. Une différence qui s’est manifestée à de nombreuses reprises tout au long de ce mois de juillet passé à Antsirabe. Les élèves et professeurs malgaches ont aussi pu bénéficier d’une partie de l’enseignement de qualité dont nous avons nous-mêmes profité en France depuis plus de quinze ans. Nous avons conscience que rien de tout cela n’aurait été possible sans le soutien de nos différents partenaires, aux premiers rangs desquels la Fondation des Ponts et le groupe Demathieu-Bard, et nous tenons à les en remercier profondément, en notre nom mais aussi en celui des Sœurs de La Providence de Madagascar et des élèves de l’institution Nicolas Barré qui nous l’ont explicitement demandé à notre départ.

En plus de la relation entre professeurs et élèves qui s’est évidemment établie entre nous et les jeunes malgaches, la faible différence d’âge a permis de développer de nombreux liens amicaux, plus propices à la discussion qu’un cours magistral. Ces discussions ont aussi été favorisées par le très bon niveau général à l’oral en français des élèves : nous avons ainsi pu traiter avec eux de toutes sortes de sujets extra-scolaires comme les différences entre la vie en région parisienne et celle à Antsirabe, nos loisirs, l’enseignement post-bac. . . Sur ces sujets comme dans les différentes matières enseignées au collège, la plupart des élèves ont fait preuve d’une envie d’apprendre et d’une maturité peu commune en France . Ces échanges furent source de nombreuses remises en question, pour nous mais aussi certainement pour les élèves, voire pour les ouvriers, malgaches.

Malgré tous ces efforts, le bâtiment qui accueil le lycée, en particulier son dernier étage, n’a pas pu être aménagé à temps pour recevoir les nouveaux élèves à la rentrée 2019. Les élèves se sont ainsi vus proposer une année aménagée au collège ou, pour les élèves issus de familles plus aisées, une place dans un autre lycée toutefois plus éloigné et plus onéreux que l’institution Nicolas Barré des sœurs de La Providence.

Et la suite ?

Nous allons rester en contact avec les acteurs locaux (élèves, sœurs et ouvriers) mais il n’y a pas d’autres actions prévues dans la mesure où les sœurs ont désormais tout ce qu’il faut pour achever la construction du lycée et le gérer correctement. Si des élèves de 1ere année de la nouvelle promotion souhaitent préparer un projet similaire, nous les accompagnerons évidemment.

Dévelop'Ponts

Dévelop’Ponts est une association de loi 1901 fondée en 2002 et constituée d’élèves de deuxième année de l’École nationale des ponts et chaussées.

Découvrir Develop'Ponts

PER – Aidez-les à trouver un contrat d’alternance

By Actualités, Étudiants
Programme étudiants réfugiés

Plusieurs étudiants suivis cette année sont à la recherche d'un contrat d'alternance pour la rentrée prochaine afin de concrétiser leur projet d'insertion

Pour la 3e année consécutive, l’École des Ponts ParisTech propose un “programme passerelle” à des étudiants réfugiés politiques, ayant étudié dans des domaines proches de ceux de l’École. L’objectif est de les accompagner pendant un an dans le développement de compétences nécessaires à la reprise d’études (linguistiques, informatiques, scientifiques). L’élaboration de leur projet de professionnalisation fait l’objet d’un suivi personnalisé tout au long de l’année.

7 étudiants sont d’ores et déjà admis dans des programmes diplômants pour l’année prochaine. Trois autres cherchent encore un contrat d’alternance. Bien entendu leur réseau professionnel en France est extrêmement réduit. C’est la raison pour laquelle nous souhaitons appuyer leur recherche, en facilitant leur mise en relation avec des entreprises pour rendre possible la concrétisation de leur projet d’insertion.

Nous sollicitons donc votre attention sur ces profils professionnels riches. Dans le cas où vous estimeriez que l’un d’eux pourrait trouver sa place dans votre entreprise pour son contrat d’alternance, vous pouvez contacter Sandrine Courchinoux

Voici les formations pour lesquelles ces étudiants sont admis :

La Fondation soutient : le projet humanitaire 2019 Dévelop’Ponts Antsirabe

By Actualités, Étudiants

En résumé

La Fondation soutient ce projet depuis 2017

Touchés par les problématiques de l’éducation à Madagascar, plusieurs étudiants de l’École des Ponts se sont mobilisés pour réaliser un projet humanitaire, avec l’Association Humanitaire Soeur Marie Colette (AHSMC), afin de construire un lycée à Antsirabe (Madagascar).

La Fondation, dans le cadre de sa mission pour accompagner les étudiants, soutient ce projet, comme elle l’a fait depuis 2017, en attribuant un financement à Develop’Ponts l’association solidaire de l’École des Ponts, à l’initiative de ce projet.

Dévelop'Ponts

Dévelop’Ponts est une association de loi 1901 fondée en 2002 et constituée d’élèves de première année de l’Ecole nationale des ponts et chaussées.

Découvrir Develop'Ponts

Notre objectif : achever la construction du lycée qui accueillera plusieurs centaines d'élèves dès la rentrée de septembre !

Ils nous parlent de leur projet

“Cette année, et dans la continuité de son projet de l’an passé, Dévelop’Ponts a décidé de terminer la construction du futur lycée public francophone d’Antsirabe. Cet établissement pourra accueillir 400 élèves chaque année pour permettre de lutter contre les taux de dé-scolarisation dramatiquement élevés dans l’enseignement supérieur à Madagascar. Pour ce projet, une quinzaine d’élèves de première année de l’Ecole des Ponts a décidé de lancer un collecte de fonds via différents supports : tenue de stands de restauration, inscription à des concours de Fondation comme celui de VEOLIA ou encore plateforme de financement participatif.

Pour avoir plus d’informations et pour nous venir en aide, financièrement comme matériellement, rendez-vous sur https://www.helloasso.com/associations/association-humanitaire-soeur-marie-colette/collectes/develop-ponts-a-madagascar-offrir-un-lycee-aux-enfants-d-antsirabe-2

Pour toute question ou suggestion relative au projet, vous pouvez contacter Charles BIMIER, élève de première année et responsable du projet au 06 16 94 78 05 ou via charles.bimier@eleves.enpc.fr

Merci pour votre attention !

L’Equipe Huma de DéveloP’ponts 2019″

Visite des plateformes du co-innovation lab – 20 juin 2019

By Actualités, Évènement, Recherche & innovation pédagogique

Sophie Mougard (directrice de l’École des Ponts ParisTech), Françoise Prêteux (directrice de la recherche), et François Bertière (Président de la Fondation des Ponts), ont eu le plaisir de convier la communauté des Ponts pour une visite des plateformes du co-innovation lab des Ponts, le jeudi 20 juin 2019.

Nos anciens élèves, dont certains ont contribué, grâce à leurs dons, au développement de cette plateforme, ont ainsi pu visiter Mu, Fresnel et Build, présentés par les chercheurs de l’École.

Un moment de partage et de découverte, suivi d’un déjeuner, qui a suscité beaucoup d’intérêt.

Galerie photos

Cliquez sur la photo pour afficher en plein écran