Skip to main content
Category

Actualités

La Fondation participe à l’acquisition d’une imprimante 3D métal

By Actualités, Recherche & innovation pédagogique

Acquise en 2020 par l'Ecole, l'achat de cette imprimante 3D métal a été rendue possible grâce aux fonds collectés dans le cadre de la campagne de mobilisation du printemps 2019, dédiée au co-innovation lab des Ponts

Cet outil répond à un besoin pour l’école de rester à la pointe de l’innovation pour :

L’enseignement

Elle sera utilisée par les élèves en cours de prototypage rapide, et plus largement pour les projets de département. Elle permettra d'ouvrir de nouvelles et belles opportunités pour développer la créativité des élèves.

La recherche

Elle permettra la construction de pièce pour effectuer des essais mécaniques, des pièces de connexion pour certaines parties structurelles. Chaque pièce pourra être créée à la demande et avec une extrême précision, le tout dans un délai restreint.

La Fondation a financé cette acquisition à hauteur de 119 000 €

L’impression 3D métal est aujourd’hui principalement utilisée dans l’industrie pour créer des composants pour l’outillage ou des pièces finies dans des secteurs tels que l’aerospatial (composant d’avion, moteur de fusée), dans l’automobile (production de moules pour la création en série de pièces), ou encore dans le secteur médical (implants sur mesure), ou encore maritime (hélices de bateaux).

Le procédé d'impression 3D métal à longtemps été utilisé pour faire de la recherche. Depuis quelques années, nous sortons de ce cadre, pour se rapprocher de l'industrialisation. Il devenait évident que nous devions doter l'école de cet instrument de pointe, pour l'enseignement tout d'abord, pour notre recherche, mais aussi pour compléter Build'in, la plateforme de l'école dédiée aux nouveaux modes de construction, à destination des chercheurs et industriels.

Laurent MaghdissianResponsable académique du département Génie Mécanique et Matériaux

72H Challenge – Soutien pour nos soignant.e.s

By Actualités, Étudiants

Arnaud de Lustrac, élève de l'École des Ponts, s'est lancé un défi sportif avec toute sa famille, pour la collecte d'une cagnotte solidaire, afin de soutenir nos soignants. Un bel exemple de solidarité, que nous souhaitions vous faire partager.

J'ai intégré l'École des Ponts en 2016. Puis, j'ai rejoint le département Génie Industriel. J'ai été membre du groupe qui a collecté des fonds pour se rendre au Togo en 2017, afin d'y construire une école maternelle. Je suis aussi le fondateur du club de course à pied de l'École, et j'ai représenté fièrement l'École sur de nombreux tournois et événements sportifs.
Le défi des 72 h reflète en quelque sorte, une part de ma participation à la vie associative de l'École.

Arnaud de LustracÉlève ingénieur – Promotion 2019

Bien qu'étant bien entraîné, cette expérience a été beaucoup plus dure que ce que je pensais. Pédaler à 5 h du matin avec le ventre pratiquement vide puisque j'avais peur de ne pas avoir le temps de digérer après mon relais précédent (qui avait terminé à 3 h). Ces trois jours étaient un véritable challenge, j'ai pu un peu mieux comprendre le quotidien que le personnel soignant doit vivre pendant cette crise sanitaire.

Arnaud de LustracÉlève ingénieur – Promotion 2019

La famille Vadrouille a pédalé pendant 72H pour soutenir nos soignant.e.s.

Du jeudi 30 avril à 20 h, à partir des applaudissements jusqu’à dimanche 3 mai à 20 h aux applaudissements, la famille Vadrouille composée de sept personnes, s’est lancée le défi de faire 72 heures non-stop de jour et de nuit, en se relayant entre eux à pédaler sur leurs vélos home-trainer à la maison, afin d’atteindre les 1 500 Km, soit plus de 200 km par personne (soit 10 h chacun à environ 21 Km/h).

L’objectif du défi a été de créer une opportunité pour permettre à tous, d’aider avec leurs moyens et de lever ensemble une cagnotte de soutien, digne du travail du personnel de santé.
Cette cagnotte de solidarité a été versée au groupement hospitalier de territoire des Yvelines Nord, qui réunit trois hôpitaux généralistes, un hôpital spécialisé, 5 EPHAD, 10 écoles et instituts de formation aux métiers de la santé du secteur public ayant 7 200 professionnels de santé.

Cet événement a été suivi par de nombreuses personnes sur Facebook (plus de 250 abonnés), et par ceux faisant du vélo chez eux sur l’application Zwift, qui pouvaient venir les soutenir et e-rouler avec eux pendant le défi.

Résultat…

Ils ont parcouru 2 182 km (sur la plateforme Zwift), gravi 18 919 m de dénivelé positif, et surtout, ont collecté 4 250 €, pour aider les hôpitaux locaux.
Félicitation à Arnaud de Lustrac et à toute sa famille pour leur belle initiative.

QS World University Rankings by Subjects 2021 – L’École des Ponts entre pour la 1re fois dans le top 250

By Actualités, Développement, Étudiants, Rayonnement

L'École des Ponts gagne 8 places et entre pour la 1re fois dans le top 250

L’édition 2021 du QS World University Rankings vient d’être publiée.
Cette année, l’École des Ponts ParisTech gagne 8 places par rapport au classement général 2020 et atteint le rang 242.

L’École des Ponts ParisTech garde la même place pour le classement en Engineering : Civil & Structural, en se positionnant au rang 51-100.

Cependant, elle a progressé dans le classement  Graduate Employablity Ranking, pour atteindre le rang 201-250.

Elle devient ainsi le premier établissement français en terme d’accueil d’étudiants internationaux. 

Le QS World University Rankings by Subject publié chaque année depuis 2011 prend en compte plusieurs critères dont la réputation académique de l’établissement, l’insertion professionnelle et l’impact de la recherche. C’est le classemet mondial des meilleures universités les plus convoitées.

Prix du Mastérien de l’année 2019

By Actualités, Étudiants, Prix Mastérien

Félicitations à Adel CHOUKRI, lauréat du prix du Mastérien de l'année 2019

Chaque année, le prix du Mastérien récompense un élève en formation de Mastère Spécialisé® à l’École des Ponts pour la qualité de son parcours, ainsi que la cohérence de son projet professionnel.

Les candidats doivent présenter leur projet professionnel à un horizon de 10 ans (environnement professionnel, fonctions exercées, …), en rédigeant et commentant leur curriculum vitae, et en indiquant en quoi leur formation à l’Ecole des Ponts aura répondu à leurs attentes et leur aura servi pour réaliser ce projet professionnel. Les candidats doivent également préciser le mode de financement auquel ils ont eu recours pour bénéficier de leur formation.

Le jury est présidé depuis 2015 par Thierry Déau (Fondateur et président-directeur général de Meridiam, président de Ponts Alumni). Il est composé d’Anne Bernard-Gély (promotion 1979), Karen Peyronnin (responsable du pôle Mastère Spécialisé®), Bruno Chanut (promotion 1987), Bruno Teman (promotion 1990), Boris Rowenczyn (promotion 2003), et Louis-Michel Sanche (délégué général de la Fondation, promotion 1974).

Les élèves disposent de 10 à 15 minutes pour présenter leur candidature, suivi d’un échange avec les membres du jury.

Cette année, le prix du Mastérien de l’année a été attribué à Adel CHOUKRI (Mastère Systèmes De Transports Ferroviaires Et Urbains), qui remporte la somme de 1 500 €. Le jury, impressionné par la diversité des candidats et la qualité de la plupart d’entre eux, a également attribué un “prix spécial” de 500 € à Boubekeur MERABET (Mastère Systèmes De Transports Ferroviaires Et Urbains).

Les lauréats du prix du Mastérien 2019 nous ont accordés une interview, et nous les remercions chaleureusement.

Lauréat

Adel CHOUKRIMastère Systèmes De Transports Ferroviaires Et Urbains - promotion 2019

Pourrais-tu nous en dire plus sur toi et sur ton parcours scolaire à l’ENPC ?
J’ai intégré l’ENPC après une expérience professionnelle d’un an. D’autre part, je suis joueur international d’échec (Maitre fédéral), et membre de l’équipe nationale marocaine.

Avais-tu connaissance de l’existence de ce prix ?
Oui, j’ai été informé ainsi que mes collègues, par la directrice du Mastère Spécialisé Systèmes de Transports Ferroviaires et Urbains.

Quelles sont les raisons qui t’ont poussé à déposer ta candidature pour ce prix ?
Je voulais faire challenger mes idées et ma vision de ma carrière avec les membres du jury et chercher des conseils.

Être lauréat du prix du Mastérien de l’année, qu’est-ce que cela signifie pour toi ?
Cela me donne plus de confiance en ma vision.

Sur quels aspects penses-tu que ta candidature à fait la différence ?
J’ai été satisfait de ma prestation, et de la manière avec laquelle, j’ai montré ma motivation, et de challenger mes idées et ma vision.

Aurais-tu des anecdotes ou souvenirs à nous faire partager lors de cette année d’études ? Un élément qui t’a marqué pendant le jury, une anecdote ou un moment appréciable ?
Au début de l’année, je ne savais pas si j’allais réussir à continuer le mastère ou pas (n’ayant pas le droit de redevenir étudiant avec ma carte séjour salarié). J’ai donc tout misé pour qu’une entreprise me paye le mastère en tant que salarié, tous mes collègues m’encourageaient et j’ai trouvé cela très remarquable. J’ai finalement eu la très bonne nouvelle d’être embauché chez Alstom, après plusieurs entretiens.
Sinon, le siège de la société MERIDIAM où j’ai passé l’entretien du prix du Mastérien est magnifique !

Ce prix, comme l’ensemble des actions de la Fondation est financé grâce aux dons des anciens élèves, auriez-vous un mot à leur dire ?
Je pense que tous les étudiants doivent participer à ce prix, c’est un vrai challenge. Ça permet au moins de construire une vision claire de son avenir.
J’espère que les lauréats continueront à soutenir la Fondation des Ponts et s’entraider pour réussir ensemble.

Prix spécial

Boubekeur MERABETMastère Systèmes De Transports Ferroviaires Et Urbains - promotion 2019

Pourrais-tu nous en dire plus sur toi et sur ton parcours scolaire à l’ENPC ?
J’ai passé une année à l’ENPC. C’est une formation que j’ai fait en parallèle avec mon travail.

Avais-tu connaissance de l’existence de ce prix ?
J’ai connu ce prix grâce à la communication faite par l’École et j’ai aussi reçu le mail. Notre responsable du Mastère nous en avait aussi parlé.

Quelles sont les raisons qui t’ont poussé à déposer ta candidature pour ce prix ?
J’ai trouvé le jeu très intéressant : comment s’organiser avec une projection à 10 ans, c’est-à-dire expliquer sa carrière, mais dans 10 ans. Cet exercice me permettait à moi-même de mettre des mots sur les perspectives d’évolution que j’avais dans l’entreprise. Puis, le fait de se forcer à l’écrire sur le CV, m’a permis de me rendre compte de la cohérence de ce que je cherche à construire. Ces deux éléments ont été une motivation pour moi de participer.

Être lauréat du prix du Mastérien de l’année, qu’est-ce que cela signifie pour toi ?
J’étais très content en apprenant que j’avais été lauréat.
Ma candidature a démontré que le parcours que j’ai présenté et les perspectives que je me donne, ne sont pas éloignés de la réalité et ça me renforce dans l’idée que je peux y arriver.

Sur quels aspects penses-tu que ta candidature à fait la différence ? Quelle était sa force ?
J’ai essayé de mettre en avant mon sens de la communication, car j’ai derrière moi, plus de 10 ans d’expérience.
De plus, le projet présenté était ambitieux et j’ai su le démontrer.

Aurais-tu des anecdotes ou souvenirs à nous faire partager lors de cette année d’études ? Un élément qui t’a marqué pendant le jury, une anecdote ou un moment appréciable ?
Le jour de la présentation était particulièrement difficile, car c’était une journée de mobilisation.
Je craignais d’être en retard et c’était malheureusement le cas. Mais le jury a eu la grande amabilité d’accepter de me recevoir. Au début de l’entretien, j’étais stressé à cause de mon retard. Mais au final, nous avons bien échangé avec les membres du jury et c’était extrêmement convivial.

Ce prix, comme l’ensemble des actions de la Fondation est financé grâce aux dons des anciens élèves, auriez-vous un mot à leur dire ?
Le rôle de la Fondation est aujourd’hui crucial, surtout avec le contexte actuel. Son objectif est précieux, le fait d’accompagner des étudiants qui sont parfois dans des conditions difficiles.

La Fondation soutient : le projet humanitaire 2020 Dévelop’Ponts Kalaiya

By Actualités, Étudiants

En résumé

La Fondation soutient les projets humanitaires étudiants depuis 2017

Sensibilisés par les problématiques de l’éducation à Kalaiya (Népal), douze étudiants de l’École des Ponts, se sont mobilisés pour réaliser un projet humanitaire, en relation avec des ONG sur place.

La Fondation, dans le cadre de sa mission pour accompagner les étudiants, soutient ce projet, comme elle l’a fait depuis 2017, en attribuant un financement à Develop’Ponts, l’association solidaire de l’École des Ponts, à l’initiative de ce projet. Elle met également à disposition ses outils afin de permettre aux élèves de collecter les fonds supplémentaires nécessaires à la réalisation de ce projet.

Dévelop'Ponts

Dévelop’Ponts est une association de loi 1901 fondée en 2002 et constituée d’élèves de première année de l’Ecole nationale des ponts et chaussées.

Découvrir Develop'Ponts

Une campagne de collecte de fonds est lancée.

Pour financer ce projet, une campagne de financement participatif est lancée avec un objectif de récolte de 15 000 euros, soit 1/3 du coût total du projet.

En 2015, des séismes ont ravagé le Népal. Des familles se sont retrouvées séparées, sans toit, des maisons qu'ils arrivaient à peine à construire se sont vues détruites. Notamment, ma famille. Ma tante a fait revenir ses nièces qui avaient perdu leur mère. Ces histoires m'ont énormément touché et nous avons alors cherché au mieux à les aider. Des événements climatiques ont à nouveau ravagé le pays en 2019, ce qui nous a motivé à participer à notre échelle à la reconstruction du pays; et quoi de mieux qu'une école !

MarinResponsable du projet

Aidez-nous à réaliser ce projet de reconstruction, afin de répondre au besoin d’éducation des 1055 enfants, qui ont vu leur école détruite depuis près d’un an. Une fois achevée, ce sont 210 familles issues de cinq villages, qui bénéficieront d’une école proche de chez eux. Merci d'avance pour votre soutien !

ThomasTrésorier de Dévelop'Ponts
Soutenez ce projet !

Besoin de financement : 15 000 €

14%

Ils nous parlent de leur projet

En 2015, une série de séismes a frappé le Népal, aggravant la situation économique déjà précaire du pays. En 2019, des tornades et des inondations durant la mousson ont par ailleurs dévastés la région du Teraï, au sud du pays. Dans cette région, de nombreuses écoles ont été détruites ou endommagées, compliquant l’accès à l’éducation primaire et secondaire pour les enfants népalais.

Présentation du projet

Notre projet a pour but de recréer un environnement de travail sûr et adapté aux besoins des enfants. Pour ce faire, il s’agira d’abord de reconstruire les bâtiments endommagés pour que l’école puisse rouvrir, et dans un deuxième temps de construire un nouveau bâtiment aux normes antisismiques, afin d’adapter la capacité de l’établissement au nombre important d’élèves. Des membres de la communauté locale, incluant des parents d’élèves, participeront au chantier. Un comité local de suivi, composé du personnel de l’école et de membres de la communauté, sera également nommé afin d’assurer la pérennité du projet.

Nous avions prévu de nous rendre sur place en juin afin d’aider à la reconstruction, échanger avec la communauté et nous assurer de l’avancement du chantier. Cependant, dans ce contexte de crise sanitaire en France comme au Népal, le démarrage du chantier a été reporté. Nous avons donc décidé de reprogrammer notre séjour sur place au mois d’octobre, afin de rencontrer les acteurs locaux et lancer le début des travaux de reconstruction.

A quoi servira l’argent collecté ?

Le montant du devis pour réhabiliter et agrandir l’école s’élève à 45 000€. Les fonds collectés permettront de payer la main d’oeuvre et d’acheter les matériaux nécessaires à la construction et la réhabilitation des bâtiments existants. Ils permettront  également de payer l’assistance technique d’un ingénieur, afin d’assurer le respect des normes antisismiques mises en place suite aux séismes de 2015. Pour garantir la transparence du projet, une fraction des fonds permettra d’autre part de payer les frais administratifs nécessaires à la bonne gestion du projet. Cela prend en compte le lancement d’un appel d’offre pour sélectionner l’entreprise de construction qui sera en charge des travaux, ainsi que la gestion comptable du projet.

Les différents acteurs de notre projet

  • La supervision du projet est assurée par l’ONG locale Protection Népal qui agit principalement pour l’environnement et la défense des droits des enfants, des femmes et des minorités au Népal sur les sujets d’éducation et de santé. Protection Népal a une expérience dans la construction et la reconstruction de bâtiments après des catastrophes naturelles, notamment après les séismes qui ont frappé le Népal en 2015.
  • Mohan Dangal est notre interlocuteur au Népal. Il travaille pour l’ONG Child Népal qui défend plus particulièrement les droits des enfants. Il nous a présenté le projet et mis en relation avec le président de l’association étant à l’origine du projet, il est désormais notre principal relais de communication avec les acteurs locaux.
  • Les autorités locales sont chargées de mobiliser la communauté et les ressources locales dans l’effort de reconstruction, à travers la participation des parents d’élèves, l’encadrement de l’appel l’offre et la mise en place d’un comité local de suivi de projet qui sera chargé entre autres de guider l’entreprise de construction.
  • L’équipe humanitaire des Ponts est formée de 12 élèves de première année à l’Ecole des Ponts et Chaussées. Nous nous chargeons de collecter les fonds nécessaires au projet, et assurerons son bon déroulement en nous rendant sur place. Notre équipe est composée d’un coordinateur du projet, une équipe qui met en oeuvre la collecte de fonds, un interlocuteur avec les chercheurs de l’école afin de bénéficier de leur expertise, des interlocuteurs avec les entreprises afin d’obtenir des matériaux, et enfin, un chargé de la communication autour du projet.
Contacts

Suivez le projet sur les  réseaux  sociaux de Dévelop’Ponts :

Une Nuit pour Entreprendre 2019-2020

By Actualités, Entrepreneuriat, Étudiants

L’École des Ponts ParisTech a organisé, dans la nuit du 27 au 28 février, la 6e édition de « Une Nuit Pour Entreprendre », l’événement phare de son dispositif de sensibilisation à l’entrepreneuriat.

Durant ce concours nocturne, 9 projets ont été créés en équipe par 50 étudiants issus de l’École et d’autres établissements. Le jury, composé de membres de la direction de l’École, de l’association des diplômés, de la Fondation des Ponts (présence du délégué général) et d’experts de l’entrepreneuriat, dont des anciens de l’École, s’est réuni au petit matin et a remis le premier prix à l’équipe « AI Fluent » qui a remporté un chèque de 1 000€ de la part de la Fondation des Ponts.

Les étudiants participants avaient 12h pour bâtir et soumettre leur projet (présentation orale, présentation PPT et réalisation d’un mini-film). Ils ont été suivis et conseillés par une équipe de 13 coachs composée d’alumni de l’École, de professionnels de l’entrepreneuriat et d’entrepreneurs du Village by CA Brie Picardie, partenaire de l’événement.

En tout, sept thématiques étaient proposées dont :

  • Data, digitalisation, IA
  • Finance, Fintech, économie
  • Santé, société, sport, alimentation
  • Ville, aménagement, construction, mobilité
  • Energie, transition écologique
  • Industrie, technologies, industrialisation
  • Environnement, eau, développement durable

Créée en 2014, l’événement Une Nuit pour Entreprendre (1NPE), a pour objectif d’inciter les élèves ingénieurs à faire preuve d’initiative et à développer leur esprit d’entreprendre.

En savoir plus
L'équipe AI Fluent, nous parle de leur projet

Le premier prix a été décerné au projet « AI Fluent », un système d’intelligence artificielle qui permet l’optimisation de la répartition des passagers des métros et RER aux heures de pointe.

Nous sommes partis d’un problème que nous avons rencontré lors des grèves où il était difficile de monter dans les wagons. Notre solution est une intelligence artificielle qui sera insérée dans les caméras déjà existantes dans les wagons et qui pourra informer les usagers des transports en commun des places libres restantes. Pour cela, les quais seront équipés de leds bicolores vertes et rouges qui permettront aux personnes de pouvoir se placer intelligemment et de se répartir sur les quais avant l’arrivée du prochain métro ou RER. Cela permettra également à la RATP d’avoir une maintenance prédictive des portes des wagons les plus utilisées.

© École des Ponts ParisTech   |   © Fondation des Ponts

Ouverture du Mastère « Transport et Aménagement Urbain » en Côte d’Ivoire

By Actualités, Non classé

Cette initiative permet le développement de l’Ecole pour concevoir et co-créer des formations en Afrique pour l’Afrique. 

Nous vous parlions de ce projet en 2017.

Le lancement du Master Professionnel en « Transport et Aménagement urbain » destiné aux cadres ingénieurs travaillant sur l’aménagement du Grand Abidjan, a eu lieu le 27 janvier 2020.

Ce Mastère est le fruit de la coopération entre l’École et l’Institut National Polytechnique Houphouët Boigny (Côte d’Ivoire), avec le soutien de la Banque Mondiale.

L’École des Ponts ParisTech a pour rôle d’initier le transfert de compétences vers les équipes pédagogiques de l’INP-HB. Elle assure l’accompagnement des équipes du Mastère dans la tenue de ce dernier, c’est-à-dire en termes de capacités organisationnelles, en vue de sa pérennisation.

Sophie Mougard, directrice de l’École des Ponts ParisTech, est venue à la rencontre de la première promotion fin février à l’occasion du séminaire « Ville Durable », événement amorçant le Sommet Afrique France 2020.

Institut National Polytechnique Félix Houphouët-Boigny

QU’EST-CE QUE LE MASTÈRE TRANSPORT ET AMÉNAGEMENT URBAIN ?

Ce Mastère est une formation technique et managériale de haut niveau financé par la Banque mondiale qui aborde les concepts et préceptes contemporains de la mobilité ainsi que l’usage des outils au service de la planification, de la pratique des projets et de leur opérationnalisation.

Le Mastère Transport Et Aménagement Urbain a été conçu autour d’axes stratégiques : l’étude approfondie des besoins en compétences métiers en s’appuyant sur les acteurs économiques et institutionnels, publics et privés du Grand Abidjan.
L’objectif est de répondre à un besoin important de main d’œuvre de haut niveau pour garantir les grands projets d’infrastructures, notamment la construction de ligne de métros ou le projet d’intégration ville-port du Grand Abidjan.

Le Mastère est dirigé par une équipe pédagogique composée d’enseignants-chercheurs et de professionnels des deux grandes écoles assurant ainsi un enseignement de haut niveau en prise directe avec les besoins de la profession et du Grand Abidjan. Il conduit à un diplôme de l’établissement ivoirien.

Le programme s’organise autour de 10 modules d’enseignement présentiel d’une semaine par mois, un Séminaire « Ville à Construire » et la soutenance d’une thèse professionnelle.  

LES CANDIDATS : QUI SONT-ILS ?

La formation du Mastère Professionnel TAU est ouverte uniquement aux professionnels et acteurs des transports urbains disposant d’une expérience professionnelle en lien avec le programme du Mastère.  

La première promotion compte alors à ce jour 19 apprenants dont 5 femmes, diplômés dans les domaines de l’ingénierie des travaux publics, économique des transports ou encore issus de masters spécialisés en politique économique, urbanisme, transport et mobilité durable. Les apprenants occupent majoritairement des fonctions de cadre en poste dans les entreprises et institutions parties prenantes dans les secteurs du Transport, de l’Urbanisme, de la Construction et de la Télécommunication : chargé d’étude en route et transport, expert routier chargé de suivi-évaluation des projets, etc.

Matinales des Ponts

By Actualités, Recherche & innovation pédagogique
Rencontres entreprises

10e Matinale des Ponts sur le thème de la performance énergétique des bâtiments

L’École des Ponts ParisTech organise le mardi 31 mars 2020 de 8h30 à 10h30 dans les locaux de Ponts Alumni, au 42 rue Boissière dans le 16e arrondissement de Paris, une rencontre avec le monde économique.

Cette dixième édition, présidée par Sophie Mougard, directrice de l’École des Ponts ParisTech, sera la troisième de la série consacrée à l’Énergie et abordera plus particulièrement le thème de la performance énergétique des bâtiments.

Avec les interventions de :

  • Christophe Levy, Scientific Director – LafargeHolcim Innovation Center;
  • Mathieu Rivallain, Division Réhabilitation et gestion de Parc – CSTB;
  • Jean Carassus, Professeur – École des Ponts ParisTech;
  • Emmanuel Normant, Directeur Développement Durable du Groupe – Saint-Gobain.

Pierre-Olivier ROUAUD, journaliste, animera cette table ronde.

Attention, nombre de places limité et l’inscription est OBLIGATOIRE.

Pour en savoir plus sur cet événement, vous pouvez contacter Monsieur Hassane AKKA. hassane.akka@enpc.fr
Pour vous inscrire

Les vœux de Sophie Mougard, directrice de l’École des Ponts

By Actualités, Évènement

La directrice a prononcé les traditionnels vœux de l'École, le mardi 14 janvier 2020, en présence des donateurs 2019 de la Fondation des Ponts.

Les donateurs de l’année 2019 étaient conviés à cet événement durant lequel, la directrice a souligné la forte image de marque des Ponts et le soutien très actif du réseau des alumni et des mécènes de la Fondation des Ponts.

Ces vœux étaient également l’occasion de faire le bilan de l’année écoulée, et de remercier l’ensemble des personnels de l’École, œuvrant au quotidien pour la réussite collective.

Très fière de la transition écologique menée avec brio par l’École, la directrice a également abordé le sujet du rapprochement avec l’institut polytechnique de Paris (IP Paris), qualifié comme un autre pilier visant l’excellence et la visibilité internationale.